OGM

Aujourd’hui la population s’accroît à une grande échelle, tandis que nos ressources déjà limitées et non renouvelables, diminuent de jours en jours. Face à une crise alimentaire, nous sommes obligés de trouver des moyens plus efficaces pour produire les grains. L’une des choix devant nous c’est d’utiliser l’OGM, qui promet de réduire ce problème avec une récolte prodigieuse. Mais est-ce qu’on peut vraiment s’appuyer sur la biotechnologie végétale voire l’OGM pour y aboutir ?

En modifiant les organismes (les grains) génétiquement, on peut non seulement  avoir l’amélioration de rendement des céréales par rapport à sa qualité, son goût, sa taille, etc. mais on peut aussi rendre les espèces plus résistantes à divers types de contraintes environnementales comme le déficit hydrique, salinité, température, accrue, etc.

En revanche, il y a des côtés négatifs de cette biotechnologie. D’abord, c’est trop cher, puis elle exige les recherches fastidieuses et longues.. Ensuite il faut de gros investissements et enfin il existe toujours des risques de l’échec de cette méthode.

Néanmoins, étant donné ces conséquences, je trouve qu’il faut avoir recours aux OGM puisque ils mènent à la création des variétés utiles. En plus cette technologie est très efficace, en même temps c’est une solution à la famine. En entreprenant la production pendant toute l’année, il y aurait également une baisse de prix qui serait un grand atout pour les consommateurs ainsi que les agricoles.

Par exemple si les fraises sont génétiquement modifiées, on peut les cultiver toute l’année au lieu de quelques mois. Egalement, grâce à la biotechnologie, Monsanto a relevé ce défi d’augmenter la productivité du maïs, du soja et du coton en 2030 par rapport à 2000.

Enfin, je peux conclure que les OGM sont indispensable pour mettre fin à la faim de la surpopulation mondiale et que cette méthode est même efficace du point de vue de respecter l’environnement en l’utilisant avec précaution.

Mais est-ce qu’on est vraiment sûr de ne pas subir les effets secondaires et de ne pas être dépourvu de l’élément naturel dans notre assiette ?